Taux de promotion au grade classe exceptionnelle
La disparition des viviers a permis d’en finir avec le contingentement entre les viviers 1 et 2, et d’en finir avec un grade plafonné à 10 % puis 10,5 % du corps.
La disparition des viviers a permis d’en finir avec le contingentement entre les viviers 1 et 2, et d’en finir avec un grade plafonné à 10 % puis 10,5 % du corps.
Tous les mois nous partageons les réponses à des questions concrètes d’AESH, reçues par les délégués SNALC.
Ce mois-ci, les thèmes abordés sont :
les sorties scolaires avec nuitée ;
l’accompagnement aux épreuves de brevet ou de bac ;
les démarches en cas de réussite à un concours ;
l’accompagnement d’élèves en stage.
Face à l’allongement des carrières et à l’augmentation des missions plus ou moins imposées, le SNALC, malgré ses alertes récurrentes, est parfois indigné du sort réservé aux collègues en fin de carrière. L’enseignement est pourtant une profession à risque d’épuisement professionnel, d’autant plus quand l’âge augmente.
En 2024, le mouvement intra-départemental a encore évolué, amenant son cortège de modifications plus ou moins ténues. Avec parfois, à la clé, la mauvaise surprise de ne pas obtenir le poste souhaité. Si le SNALC encourage les enseignants à faire valoir leurs droits, il faut pour autant s’assurer que le cadre réglementaire le permet.
La crise d’attractivité s’enracine dans la durée et le gouvernement fait le choix de l’aggraver avec une réforme précipitée. Le texte statutaire transmis aux organisations syndicales relève d’un mépris et d’une provocation envers les futurs enseignants, jamais égalé concernant la rémunération, la formation et l’affectation
Depuis des années et notamment depuis les PIAL, avec les conditions d’emploi, d’exercice de leurs missions et de rémunération imposées par l’institution, les AESH connaissent plus la tempête qu’une météo clémente…
Toutefois, en cette fin d’année scolaire, 5 mesures constituent une amélioration
La question qui finit par se poser est la suivante : qui du système ou de ses personnels s’effondrera en premier ?
Les indicateurs sont clairs et disent tous la même chose : l’implosion est proche.
La question qui finit par se poser est la suivante : qui du système ou de ses personnels s’effondrera en premier ?
Les indicateurs sont clairs et disent tous la même chose : l’implosion est proche. Le premier employeur de France est désormais aussi le pire employeur de France.
– résultats du mouvement intra académique
– demande d’affectation à titre provisoire
– recours
Le SNALC apprécie que des groupes de travail ministériels consacrés aux assistants d’éducation (62 000 personnels) se tiennent enfin. En effet, ces GT avaient été initialement programmés en avril 2023…
Si le contenu des documents transmis par le ministère est relativement riche, le SNALC n’en partage pas toute la teneur et a bien évidemment fait des propositions d’amendements
Les commentaires dénonçant les défaillances dans le bâti scolaire sont nombreux mais l’enquête du SNALC révèle une autre faille inquiétante sur les dispositifs d’alerte.
Dès 2018, lors de la conception et la mise en œuvre des derniers programmes d’EPS pour les lycées, le SNALC, par ses amendements adressés à la DGESCO et ses multiples communications, alertait le ministère et toute la profession sur la dérive qui fixait pour priorité l’apprentissage de « rôles sociaux » et de compétences sociales
Le Ministère va réformer le diplôme national du brevet (DNB) avec des textes qui passeront en commission spécialisée le 19 juin pour un vote au CSE le 4 juillet. Avec cette rencontre bilatérale, il ouvre le cycle des consultations.
Il faut arrêter cette machine infernale tant qu’il est encore temps. Les ministères ne sont clairement pas au point, et n’ont pas réfléchi aux conséquences de leurs propositions.
Bilan sur l’école pour tous.
Cette deuxième réunion fait suite à la réunion du lundi 13 mai et a permis d’aborder deux points :
Les ULIS
Les PIAL
En cette fin d’année scolaire, l’abandon du regroupement des fonctions des AESH et des AED pour créer un métier d’accompagnant à la réussite éducative (ARE) et le retour d’un financement par l’Education nationale de l’accompagnement sur le temps méridien des élèves en situation de handicap (ESH) constituent deux bonnes décisions pour les AESH. Toutefois, il ne faudrait pas que ces deux mesures masquent ou fassent oublier les dispositifs qui sont progressivement en train de se mettre en place
Au sein des hautes sphères du gouvernement, les termes « historique » et « réforme » semblent avoir trouvé une résidence permanente, surtout lorsqu’il s’agit de peindre avec les couleurs de la grandeur les récentes politiques d’éducation visant à « l’attractivité » du métier. Pourtant, le SNALC, avec un oeil critique et les pieds bien ancrés dans la réalité des salles de classe, rappelle qu’il y a loin de la coupe aux lèvres.
– Affectation des contractuels
– RIS spéciale contractuels le 11 Juin
– Mouvement intra
– Adhésion zéro euro
Les enseignants de terrain avaient prédit les impasses du BUT notamment avec plusieurs tribunes publiées dans la presse mais ils n’ont guère été écoutés par une technocratie autoritaire.
Le SNALC a insisté sur la fascinante propension du Ministère à partir de constats globalement partagés pour créer des monstres (entités de conformation anormale).
En effet, le texte présenté déroge à ceux de la fonction publique. Le SNALC demande que l’on s’y conforme et que l’obtention du concours signifie que l’on entre dans la carrière et dans la grille.
Le système de subrogation, qui permet d’éviter des difficultés dans le versement des indemnités journalières en cas de congé maladie, devrait prochainement s’appliquer à tous les AESH, qu’ils soient en CDD ou en CDI. Le SNALC fait le point sur ce dispositif qui peut paraître complexe.
Les directrices et directeurs veillent au bon fonctionnement des écoles tout en assumant, pour une grande majorité d’entre eux, la fonction d’enseignant. Quelle que soit leur quotité de décharge de classe, la sécurité des personnes et des biens demeure leur priorité quotidienne absolue.
Le SNALC s’inquiète de la politique ministérielle visant à développer l’usage des logiciels éducatifs dans toutes les classes. Outre le sujet des moyens hallucinants alloués pour concrétiser ce dessein, le SNALC s’interroge sur le devenir de notre statut de professeur à moyen terme.
Les lettres de l’alphabet, les professeurs des écoles les connaissent, dans l’ordre et dans le désordre. Mais derrière elles se cachent des sigles souvent mal connus, comme le révèle l’enquête accablante du SNALC : RSST, DUERP, RDGI, faits établissement… Les résultats laissent pantois.
Notre marge de manœuvre au sein des établissements a été progressivement réduite. Notre liberté pédagogique a été amoindrie par la multiplication d’instances concoctées par des personnes qui n’ont jamais enseigné ou qui n’enseignent plus depuis longtemps.
– Affectation des contractuels
– RIS spéciale contractuels le 11 Juin
– Mouvement intra
– Adhésion zéro euro
Le SNALC a insisté sur la nécessité de produire un cadre de gestion nettement plus explicite, complet et ferme que le précédent afin d’améliorer les pratiques locales en termes de gestion administrative et financière des AESH dans l’objectif de mettre fin aux interprétations défavorables, voire fantaisistes, de certains employeurs.
Un accord concernant spécifiquement le MENJ, le MESR et le MSJOP a été signé le 8 avril 2024 par les organisations syndicales représentatives (dont le SNALC), sauf FO. Il est destiné à couvrir les frais de santé, en complément et en supplément des remboursements effectués par les régimes obligatoires de sécurité sociale, ainsi qu’à offrir la possibilité d’un renfort des garanties statutaires en prévoyance (incapacité, invalidité, décès).
Depuis la parution officielle dans le Bulletin officiel le 22 février, nous aurions pu espérer des compléments d’information. Pourtant, rien n’est annoncé.
Nous sommes nombreux à ressentir le peu de prestige associé à notre métier. Longtemps considéré comme ayant une forte valeur sociale et intellectuelle, il est aujourd’hui discrédité par la société et méprisé par l’institution.
29,5 % des collègues interrogés dénombrent une entrée non autorisée et mal intentionnée dans leur école et 9,4 % en dénombrent plusieurs.
Pour le SNALC, le respect de l’autorité à l’École est fondamental pour garantir aussi bien des conditions d’apprentissage favorables aux élèves que des conditions de travail correctes aux professeurs et aux équipes éducatives. Cependant le calendrier de cette concertation, extrêmement resserré -pour ne pas dire complètement ubuesque, nous laisse malheureusement une impression de vouloir aller trop vite, de ne pas être à la hauteur des enjeux.
– choc des savoirs
– Réunion d’information syndicale en visio (contractuels)
– adhésion zéro euro
– mouvement intra 2024
Les données statistiques scrupuleusement sélectionnées ont permis au ministère de nous vanter – une fois de plus – la politique d’inclusion scolaire mise en œuvre depuis l’élection d’Emmanuel MACRON, dont les mesures de revalorisation des AESH…
Pour le SNALC, ce bilan ministériel ne traduit absolument pas les conditions d’exercice de plus en plus insoutenables des personnels en charge de l’inclusion scolaire (enseignants, AESH, infirmières…).
Le SNALC a pris connaissance du vademecum Mettre en place les groupes de besoins[1], publié par le Ministère.
Pour rester euphémique, le SNALC se contentera de dire que rien ne va.
Les propositions d’organisations, les exemples d’emplois du temps et les pratiques pédagogiques imposées à mots à peine couverts montrent que les professeurs vont être mis en souffrance et vont voir leur liberté pédagogique grandement attaquée
L’enquête conduite par le SNALC révèle l’ampleur du sentiment d’insécurité ressenti par une grande partie des professeurs dans le premier degré. Près de 50 % d’entre eux ne se sentent pas en sécurité au sein même de leur école.
Alors qu’il n’a généralement que les mots « gouvernance » et « pilotage » à la bouche, le ministère est dans un état de désordre rarement atteint. Et la politique menée s’en ressent.
Côté syndical, ce sont les réunions planifiées, reportées, annulées qui s’accumulent. Ce sont les ordres et les contre-ordres, comme dernièrement sur les heures supplémentaires. Ce sont les dossiers laissés en jachère, et soudain rouverts avec un calendrier intenable.
Alors qu’il n’a généralement que les mots « gouvernance » et « pilotage » à la bouche, le ministère est dans un état de désordre rarement atteint. Et la politique menée s’en ressent.
Côté syndical, ce sont les réunions planifiées, reportées, annulées qui s’accumulent. Ce sont les ordres et les contre-ordres, comme dernièrement sur les heures supplémentaires. Ce sont les dossiers laissés en jachère, et soudain rouverts avec un calendrier intenable.
L’histoire de notre salaire est celle d’une dévalorisation sans fin. Année après année, nous avons de force été paupérisés.
Certes, il y a eu un aménagement des décharges, quelques euros supplémentaires et une bonification d’échelon non négligeable. Mais cela ne règle absolument pas le surmenage occasionné par l’accumulation des missions, des nouvelles tâches et des nouvelles responsabilités qui incombent aux directeurs et aux directrices chaque année. Comme le SNALC l’avait annoncé, la loi Rilhac n’a permis aucune simplification, ni amélioration.
Ce lundi 6 mai, le SNALC et les autres organisations représentatives étaient reçues, en présence de la ministre, pour enfin échanger la réforme de la formation initiale des professeurs. Cette réunion, qui s’est tenue sans document, ouvre une phase de concertation qui se conclura le 21 mai (!) par un CSA ministériel pour un début de mise en œuvre à la rentrée prochaine. Bref, encore une parodie de dialogue social
Le SNALC s’oppose à la modification du statut des agrégés présentée au comité ministériel du 7 mai.
Pour le SNALC, il n’y aucune urgence ni aucun besoin de déconcentrer la carrière des professeurs agrégés. La gestion nationale a, au contraire, de nombreuses vertus, notamment dans l’équilibre entre les disciplines.
Le SNALC votera contre le texte du ministère, qui constitue un énième affaiblissement d’un concours qu’il conviendrait plutôt de valoriser.
Sauf avis contraire de l’IA-DASEN, le grade de la hors-classe est accessible à tous les professeurs des écoles avec au moins 2 ans d’ancienneté dans l’échelon 9 au 31 août de l’année d’établissement du tableau d’avancement ou étant au 10e ou au 11e échelon de la classe normale au 31 août de l’année d’établissement du tableau d’avancement.
Depuis plusieurs années des mesures substantielles ont été prises par l’institution visant à flexibiliser notre statut, c’est-à-dire nous obliger à changer notre façon de travailler. Le but est de faire des économies afin de pallier la pénurie de professeurs.
Le ministère s’est tout d’abord attaqué à nos obligations liées au temps de travail. Elles ont peu à peu été modifiées pour nous amener à travailler plus sans aucun rattrapage salarial.
Les congrès et RIS à venir
L’adhésion à « zéro euro »
Le mouvement intra second degré
Réunion d’information syndicale
Spéciale Contractuels enseignants, CPE et Psy-EN
En visioconférence
Mardi 11 juin 2024 de 8h45 à 12h
VOS DROITS, VOS OBLIGATIONS, VOTRE AVENIR
Le SNALC défend un cadre de gestion national pour chaque catégorie de contractuels, assorti d’un alignement sur le mieux-disant social
Au sein des hautes sphères du gouvernement, les termes « historique » et « réforme » semblent avoir trouvé une résidence permanente, surtout lorsqu’il s’agit de peindre les récentes politiques d’éducation avec les couleurs de la grandeur. Pourtant, le SNALC, avec un œil critique et les pieds bien ancrés dans la réalité des salles de classe, rappelle qu’il y a loin de la coupe aux lèvres.
La GIPA est une indemnité qui vous est due si l’évolution de votre traitement brut indiciaire est inférieure sur 4 ans à celle de l’indice des prix à la consommation, et ce dans l’objectif de compenser une perte de pouvoir d’achat.
il faut bien utiliser les bons termes. Ils ne seront pas scolarisés de 8h à 18h, ils seront accueillis de 8h à 18h. Un élève de collège a entre 25 et 26 heures de cours par semaine, là, on parle finalement d’une plage horaire avec le mercredi matin en plus, qui est quasiment de 40 heures hors les pauses déjeuners. Donc, la question, c’est qu’il reste un tiers du temps, finalement, où ils ne sont pas en cours. Du coup, ils sont où ? Et ils sont avec qui ? Qui les encadre ?