
Reconnaissance du PACS dans les opérations de mobilité (courrier intersyndical)
Courrier intersyndical FSU, FNEC FP FO, CGT Educ’action, SNALC, SUD Education du 5 février 2025
Courrier intersyndical FSU, FNEC FP FO, CGT Educ’action, SNALC, SUD Education du 5 février 2025
Les épreuves ponctuelles terminales du bac pro sont avancées mi-mai en 2025, suivies d’un parcours différencié d’un mois et demi. Les CCF devront être terminés début mai. Le ministère émet des préconisations irréalistes.
Pour que l’école devienne inclusive, il faut que les professionnels de chaque secteur aient les moyens de coopérer pour définir les meilleures réponses à apporter afin de satisfaire dans de bonnes conditions aux besoins de tous les élèves : en effet, la politique du ministère conduit trop souvent à borner la lutte contre les difficultés scolaires aux mesures d’accompagnement du handicap.
Madame la Ministre,
Vous avez déclaré ne pas être une spécialiste des questions de l’Education nationale. Pour le SNALC, il est toujours préférable de maîtriser les sujets sur lesquels on est appelé à se prononcer. Nous vous proposons donc ce matin une sorte de rattrapage accéléré(…)
Selon le premier ministre, dans le nouveau gouvernement, « l’éducation est à sa place, la première ». Dans les faits, il ne parlait que de l’ordre protocolaire, et non de la réalité de la politique éducative menée. Cette politique, impressionnante de constance malgré les changements de visages que nous constatons tous les trois mois environ, obtient des résultats tout aussi constants : ils sont, invariablement, nuls.
Le rattrapage salarial des enseignants, objectivement sous-payés par rapport au reste de la catégorie A dans la fonction publique d’État ? Nul.(…)
Selon le premier ministre, dans le nouveau gouvernement, « l’éducation est à sa place, la première ». Dans les faits, il ne parlait que de l’ordre protocolaire, et non de la réalité de la politique éducative menée. Cette politique, impressionnante de constance malgré les changements de visages que nous constatons tous les trois mois environ, obtient des résultats tout aussi constants : ils sont, invariablement, nuls.
Le rattrapage salarial des enseignants, objectivement sous-payés par rapport au reste de la catégorie A dans la fonction publique d’État ? Nul.(…)
Le SNALC a bien noté que, selon le premier ministre, « L’éducation est à sa place, la première ». Toutefois, il ne parlait que de l’ordre protocolaire, et non de la réalité de la politique éducative menée. Cette politique, impressionnante de constance malgré les changements de visages que nous constatons tous les trois mois environ, obtient des résultats tout aussi constants : ils sont, invariablement, nuls.
Jeudi 16 janvier 2025, à l’appel de plusieurs organisations syndicales, dont le SNALC, plus d’une centaine de collègues AESH se sont rassemblés devant le rectorat de Lyon.
Nouvelle ministre de l’Éducation nationale, Madame Borne a indiqué ne pas être spécialiste des questions de notre institution. Pourtant, contrairement à ce qu’elle a déclaré, nous attendons qu’elle le soit, et c’est pour cela que le SNALC lui proposera rapidement un cours de rattrapage.
Nous n’acceptons pas les 3 jours de carence et l’amputation de nos salaires de 10 % lors de congés de maladie ! Non par attachement à un « privilège », mais parce que les conditions de travail des enseignants, et en particulier des P. EPS, favorisent leur exposition aux maladies et à la nécessité de congés.
Audience multilatérale en présence de la ministre, Mme Borne.
Deux ans après la mise en place des APQ, un rapport sénatorial fait le triste bilan de leur généralisation.
Depuis 2018 et les premiers échanges sur les nouveaux programmes du lycée général et technologique, le SNALC n’a cessé de dire qu’il fallait revoir les programmes de langues vivantes.
Le ministre de l’Éducation nationale a annoncé que des programmes seront modifiés. Récemment encore, un projet de programme d’Éducation à la vie affective et sexuelle (EVAS) a été étudié dans les instances de notre institution. Les attentes du SNALC, quel que soit le programme, sont claires.
Le SNALC Lyon reste engagé à défendre vos droits et vos conditions de travail.
Le gouvernement enchaîne les mesures drastiques dans le but de faire des économies.
Le pays doit trouver de l’argent, et pour le SNALC, le choix de faire payer une fois de plus la facture aux professeurs n’est pas acceptable.
Le Ministère de l’Éducation nationale a décidé qu’il n’y aurait pas de groupes en 4e ni 3e. Il met en place un dédoublement sur une heure par semaine, soit en mathématiques, soit en français. Du point de vue organisationnel, on évite la catastrophe. Mais du point de vue pédagogique, cela reste aberrant.
Les difficultés relationnelles se multiplient de manière significative dans notre environnement de travail : ces tensions génèrent un mal-être croissant parmi les personnelset peuvent mener à l’épuisement professionnel. Le SNALC vous aide à vous protéger et à y faire face.
INTERSYNDICALE OPALE : communiqué du 4 décembre 2024
Tract intersyndical FSU, CGT Educ’action, SNALC et SUD éducation du 28 novembre 2024
Les deux enquêtes menées par le SNALC ont rencontré un franc succès et sont éclairantes à plus d’un titre.
La mise en place a grandement varié selon les établissements. Certains chefs d’établissement et certaines équipes ont eu l’intelligence de contourner la mesure. Malheureusement, dans une immense majorité de nos collèges, les emplois du temps et les services des professeurs ont été largement dégradés.
Le message vidéo intersyndical
Ce mercredi 27 novembre, le SNALC rencontrait Caroline Pascal, directrice générale de l’enseignement scolaire (DGESCO), pour un premier échange depuis sa prise de fonction. Ce fut l’occasion de poser un diagnostic clair sur les réformes en cours et de partager nos revendications quant à celles qui se profilent.
Les organisations syndicales FSU, FNEC-FP-FO, CGT éduc’action, SNALC, SUD éducation font une demande d’audience à Monsieur Alexandre PORTIER Ministre délégué,
chargé de la réussite scolaire et de l’enseignement professionnel.
Dans le contexte de la Loi Rilhac, l’Inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche (IGÉSR) a observé la mise en pratique du pilotage pédagogique des directeurs d’école sur l’année scolaire 2023-2024. Pour le SNALC, les recommandations apportées par le rapport de l’IGÉSR (1) ne vont pas dans la bonne direction.
Par un vote unanime de son bureau national, le SNALC appelle l’ensemble des collègues à se joindre au mouvement éducation et fonction publique initié le 5 décembre.
Retour sur les congrès AESH de l’académie qui se sont déroulés à Roanne, Lyon et Belley.
Avez-vous remarqué l’utilisation de plus en plus marquée du jargon directement issu de l’entreprise ? Dans les différentes communications, les mots « performance », « efficacité », « innovation » ou encore « objectifs-cibles » sont omniprésents. Ils remplacent « progrès », « réussite », « visée pédagogique », désormais en voie d’extinction. Le « business plan » a détrôné le projet d’éducation.
L’annonce récente des suppressions de postes à la rentrée 2025 marque un nouveau seuil dans l’inacceptable. Les professeurs des écoles sont en colère, dégoûtés et désabusés : 3 155 postes seront supprimés dans le premier degré.
Le SNALC tire la sonnette d’alarme suite aux annonces « choc des savoirs » faites aujourd’hui, et qui vont concerner primaire, collège et lycée.
il n’y a qu’une seule vérité : c’est celle de la crise d’attractivité de nos professions, c’est celle de notre perte régulière de pouvoir d’achat, c’est celle de la taille de nos classes et de la violence qui y règne, c’est celle de l’écart qui existe entre nous et le reste de la fonction publique d’État en termes de rémunération. Nos gouvernants peuvent toujours continuer leur com’ : le SNALC continuera de les mettre en face de leurs mensonges.
L’actualité syndicale est marquée par des décisions budgétaires néfastes. Dans ce contexte, le SNALC entend lutter sur ces fronts dans le cadre de l’intersyndicale, mais aussi à travers le préavis de grève qu’il a déposé concernant notre rémunération et nos conditions de travail. Ces conditions de travail, au collège, sont liées à la mise en place des dernières réformes comme celle des groupes.
Le SNALC souhaite donc pouvoir porter votre parole dans ses échanges avec le Ministère
Profitant de la crise financière que traverse la France, le gouvernement vient de faire savoir que la GIPA ne serait pas versée cette année, et indique qu’elle devrait disparaître.
Le SNALC dénonce le projet de casse de l’Éducation nationale que développe chaque jour un peu plus le gouvernement en place.
Pour faire quelques économies, le Ministre de la Fonction publique souhaite augmenter le nombre de jours de carence de 1 à 3, et rémunérer les trois premiers mois de congé maladie ordinaire à hauteur 90 % au lieu de 100 % actuellement.
Le SNALC préfèrerait nettement que M. le Ministre fasse déjà à titre personnel l’économie d’annonces démagogiques, nauséabondes et totalement déconnectées de la réalité.
Tout cela donne l’impression qu’on poursuit la feuille de route des divers ministres précédents, sans jamais se poser la question d’où va la route, ni celle de savoir si on a les gens pour la tracer et pour y installer l’éclairage.
Le SNALC Lyon organise des congrès spécifiques AESH en Novembre
le 13 Novembre à Roanne
le 14 Novembre à Lyon
le 15 Novembre à Belley
On a connu des hausses démographiques qui ne se sont jamais accompagnées de hausses des postes. La baisse du nombre d’enseignants n’est donc pas une conséquence mécanique de la baisse démographique. Cela révèle en réalité un choix politique, choix dans lequel l’Éducation nationale n’est en fait pas une priorité.
Le SNALC, syndicat représentatif à l’Éducation nationale, a été reçu ce 15 octobre par la ministre Anne Genetet.
Nous avons bien entendu mis l’accent sur la question budgétaire, qui montre bien que l’Éducation nationale est tout sauf une priorité pour l’actuel gouvernement. Nous avons aussi insisté sur la crise d’attractivité chez les professeurs et la nécessité d’un rattrapage salarial sans contrepartie
Le projet de budget 2025 présenté cette semaine par le gouvernement envisage des retraits d’emplois d’une ampleur dévastatrice. Une ligne rouge est franchie !
Le SNALC a pris connaissance de ce que le gouvernement envisageait pour le projet de loi de finances 2025. Nous sommes au-delà du catastrophique : la « priorité » à l’École annoncée par le premier ministre dans son discours de politique générale s’est transformée en saignée.
Ce vendredi 11 octobre 2024 s’est tenue la réunion S1 du SNALC Lyon
Réunion d’information syndicale
Spéciale Contractuels enseignants, CPE et Psy-EN
En visioconférence
« Voilà qui montre bien la thématique d’autorité (…) Est-ce que je suis en train de risquer ma sécurité en demandant à une élève d’enlever son voile ? (…) Peu d’enseignants sont formés à ces problématiques ; on a plus de 8% d’enseignants contractuels complètement démunis : on n’est pas tous armés pour lancer le débat (…)
Certains, parfois considérés comme des dinosaures par leurs pairs, se souviennent sans doute de l’époque – pas si lointaine – où le professeur préparait ses cours, enseignait sa discipline, évaluait les élèves et participait à leur orientation via le conseil de classe.
Or, les missions du professeur se sont largement alourdies
On nous annonce l’apocalypse pour le budget 2025, des coupes claires dans les dépenses… et les dépenses, c’est vous ! Dommage pour celles et ceux qui avaient succombé aux sirènes du pacte : il faut déjà réduire la voilure. Une preuve encore du manque de constance qui caractérise notre ministère : on passe des mois, voire des années à mettre en place le « travailler plus pour gagner plus », tout ça pour expliquer après qu’il n’est plus possible de gagner plus. En revanche, il est toujours possible de travailler plus pour gagner pareil, voire pour gagner moins. C’est ce qu’on appelle le « choc d’attractivité ».
« …Je rappelle quand même que ce type d’agression ne constitue pas un fait isolé. De plus en plus, on assiste à une banalisation de la violence en milieu scolaire.. ..» Maxime Reppert, Vice Président du SNALC
11 Octobre : Lyon – Bureau spécial S1
18 Octobre : Visio – Spéciale contractuels
13 Novembre : congrès AESH à ROANNE
14 Novembre : congrès AESH à LYON
15 Novembre : congrès AESH à Belley
L’Académie de Lyon propose un ensemble de prestations d’action sociale destinées à améliorer les conditions de vie des personnels, qu’ils soient titulaires, contractuels ou retraités.
Le SNALC accueille sans espoir le cinquième ministre de l’Éducation nationale en moins d’un an et demi.
Après un exercice difficile l’an dernier, le bilan dressé par les organisations syndicales a été écouté, et les députés se sont intéressés. L’Éducation nationale est dans une situation grave. C’est pour cela que le SNALC souhaite que la représentation soit informée au mieux et puisse venir en appui de nos revendications.