Après le mouvement intra-départemental, que faire ?
En 2024, le mouvement intra-départemental a encore évolué, amenant son cortège de modifications plus ou moins ténues. Avec parfois, à la clé, la mauvaise surprise de ne pas obtenir le poste souhaité. Si le SNALC encourage les enseignants à faire valoir leurs droits, il faut pour autant s’assurer que le cadre réglementaire le permet.
La lettre hebdomadaire (09/06/2024)
– résultats du mouvement intra académique
– demande d’affectation à titre provisoire
– recours
La lettre hebdomadaire (26/05/2024)
– Affectation des contractuels
– RIS spéciale contractuels le 11 Juin
– Mouvement intra
– Adhésion zéro euro
La lettre hebdomadaire (05/05/2024)
Les congrès et RIS à venir
L’adhésion à « zéro euro »
Le mouvement intra second degré
Mouvement INTRA 2024
Chaque académie (ou département pour le 1er degré) a ses propres règles, son propre barème.
Pour bénéficier des meilleurs conseils pour votre mutation, vous devez absolument prendre contact au plus tôt avec les responsables du SNALC de l’académie de votre demande de mutation intra.
IMPORTANT : Mouvement inter départemental P.E
ATTENTION, IMPORTANT !
Les résultats du mouvement interdépartemental ont été annoncés ce mercredi 6 mars par SMS et sur I-Prof. Or, des informations erronées ont été communiquées lors de l’envoi des SMS, créant confusion, inquiétudes et fausses joies.
Mouvement intra : un cadre commun et des spécificités départementales
Tout professeur des écoles titulaire peut, s’il le désire, participer au mouvement intra départemental. En revanche tout professeur des écoles sans poste ou stagiaire doit y participer. Le SNALC vous présente les grandes lignes de ce mouvement très départemental.
QUINZAINE UNIVERSITAIRE n°1486 – école
Une fois encore, une com’ assertive accouche d’une mise en œuvre aux fraises.
Entre le Gabriel Attal de novembre, dossier de presse à la main, éléments de langage à la bouche, et l’Amélie Oudéa-Castéra de janvier, lancée dans le grand bain sans flotteurs, la « priorité à l’éducation » et le « choc des savoirs » en ont pris un sacré coup dans l’aile. Et le premier degré, pourtant indispensable à l’acquisition des « fondamentaux » chers à notre gouvernement, a quasiment disparu des radars. Sauf chez la députée Rilhac, qui non contente d’avoir pondu une loi qui n’a aidé en rien les directions d’école, bien au contraire, veut remettre ça en faisant une nouvelle fois miroiter les décharges et l’aide administrative qu’elle a complètement échoué à nous apporter la fois précédente.