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LA SANTÉ, ON N’EN A QU’UNE

Pas un jour ne passe sans que le SNALC soit contacté par des AESH qui ne supportent plus les conditions d’exercice de leurs missions.

 

Non seulement, ils sont de plus en plus nombreux à nous solliciter pour des incidents et accidents dont ils sont victimes, mais ces appels au secours révèlent également des atteintes à leur intégrité physique ou/et mentale de plus en plus fréquentes et graves.

D’un mal-être au travail au burn-out, en passant par des coups de poing, des morsures, des paroles déplacées ou des insultes, toutes ces sollicitations ont un point commun : une mise en danger de leur santé.

Or, les AESH ne sont ni des kamikazes de l’inclusion scolaire, ni des boxeurs qui ont signé pour en prendre plein la tête, ni des parias de l’institution disposés à se faire mépriser, voire humilier dans l’exercice quotidien de leurs fonctions.

Face à cette escalade d’attaques à leur santé, nombre d’AESH vont travailler la peur au ventre.

Le SNALC condamne fermement cette violence et ces atteintes récurrentes à la santé des AESH : la santé, on n’en a qu’une !

Tant que nos responsables politiques resteront sourds et indifférents à ces situations de souffrance au travail, le nombre d’AESH à bout de souffle ne cessera de croître.

Déjà précarisés financièrement (salaires indigents), institutionnellement (absence d’un statut de fonctionnaire) et professionnellement (conditions de travail exécrables), laisser la santé des AESH se dégrader est d’une part de la non-assistance à personnels en danger et d’autre part une faute.

En effet, l’employeur doit être le garant de la santé des personnels dans l’exercice de leur activité.

Pour le SNALC, nous sommes arrivés à l’apogée d’un management des AESH totalement dénué d’humanité, et c’est inacceptable !

En attendant une prise de conscience, suivie de mesures concrètes et efficaces de la part de notre ministère pour préserver la santé des AESH, vous trouverez dans cette lettre des outils pour vous protéger.

Au-delà de notre accompagnement dans vos missions de plus en plus périlleuses et puisque le cadre de gestion des AESH doit à nouveau faire l’objet de discussions au ministère dans les prochaines semaines, vous pouvez compter sur le SNALC pour dénoncer cet état de fait et exiger des solutions rapides.

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