Syndicat national des lycées, collèges, écoles et du supérieur

Search
Filtres génériques
Correspondance exacte uniquement
Rechercher dans le titre
Rechercher dans le contenu
Filtrer par Catégories
Sélectionner tout
AESH
Collège
Contractuels enseignants, CPE, Psy-EN
Dossiers
Rémunérations
Retraite
Le SNALC
Avantages SNALC
Le SNALC dans les médias
Mobi SNALC
Les Actualités
Les Parcours - La Carrière
Echelons, corps, grades
Formation, concours, stagiaires
Mutations, détachements
Retraite
Les publications
Fiches Infos
Guides
La revue Quinzaine Universitaire
Le bulletin trimestriel
Lettres électroniques
Lettre hebdomadaire
Lycée
Lycée professionnel
Premier Degré
Second Degré

Groupes au collège : encore temps d’agir

© Alarm Clock stopping wooden domino. Risk Management Concept.

Communiqué de presse du SNALC du 17 mai 2024


Le SNALC a pris connaissance du vademecum Mettre en place les groupes de besoins[1], publié par le Ministère.

Pour rester euphémique, le SNALC se contentera de dire que rien ne va.

Les propositions d’organisations, les exemples d’emplois du temps et les pratiques pédagogiques imposées à mots à peine couverts montrent que les professeurs vont être mis en souffrance et vont voir leur liberté pédagogique grandement attaquée pendant que, dans le même temps, les chefs d’établissement vont s’arracher les cheveux avec les services, et que le gain pour les élèves sera absolument nul.

Le Ministère avoue même dans ce vademecum que la mise en place des groupes peut nécessiter de « limiter le cumul d’options ».

Lors des audiences avec la Direction Générale de l’Enseignement Scolaire (DGESCO), il avait été dit que la marge établissement ne serait pas utilisée pour mettre en place les groupes et que les options ne seraient pas impactées.

Pour le SNALC, le Ministère a menti et met aujourd’hui en place une réforme qui nuira à tous les personnels et n’apportera rien aux élèves.

Le SNALC invite donc les chefs d’établissement et les professeurs à suivre les préconisations qu’il a regroupées dans son document Pour que les groupes aient la classe[2] publié le 9 avril dernier, et se réjouit de voir que d’autres syndicats rejoignent désormais sa volonté de passer par les conseils d’administration pour combattre cette réforme ratée.

 
 

Lire aussi