Syndicat national des lycées, collèges, écoles et du supérieur

Search
Filtres génériques
Correspondance exacte uniquement
Rechercher dans le titre
Rechercher dans le contenu
Filtrer par Catégories
Sélectionner tout
AESH
Collège
Contractuels enseignants, CPE, Psy-EN
Dossiers
Rémunérations
Retraite
Le SNALC
Avantages SNALC
Le SNALC dans les médias
Mobi SNALC
Les Actualités
Les Parcours - La Carrière
Echelons, corps, grades
Formation, concours, stagiaires
Mutations, détachements
Retraite
Les publications
Fiches Infos
Guides
La revue Quinzaine Universitaire
Le bulletin trimestriel
Lettres électroniques
Lettre hebdomadaire
Lycée
Lycée professionnel
Premier Degré
Second Degré

Bulletin trimestriel du SNALC Lyon

Editorial p.1
Grand Oral p.3
Agrégés stagiaires p. 3
Congrès p.4

« L’Education nationale, c’est nous. Nous les acteurs de terrain, que nous soyons professeurs de tous les degrés et niveaux, que nous soyons personnels de direction, personnels administratifs ou de santé, AESH ou AED, qui, chaque jour, dans des conditions plus ou moins difficiles mais toujours complexes, prenons en charge les élèves avec leurs capacités, leurs espoirs mais aussi leurs faiblesses et leurs problèmes. (…) Sans nous, sans ces personnels du premier rang et de la première ligne, il n’y aurait simplement pas d’école. Pour autant, comme pour ces temps du covid où l’on nous promettait un monde d’après qui n’oublierait pas les services rendus par tous les « invisibles » qui ont permis au pays de ne pas s’effondrer, la reconnaissance se fait attendre. (…) Pire, le contrat de confiance minimal qui nous lie encore à notre employeur a failli être rompu au printemps dernier lorsque le gouvernement a tenté de récupérer dans l’urgence les moyens alloués aux établissements pour le paiement des Heures supplémentaires effectives. (…) Quel autre « patron » que l’Etat pourrait se permettre d’envisager de ne pas rémunérer le travail accompli par ses agents, sans conséquences ? (…) Comment être surpris ensuite que les concours n’attirent plus, que les demandes de rupture conventionnelle et les démissions se multiplient, que des collègues soient écœurés et découragés ? Ceux-là ne sont pourtant pas la majorité. Chaque jour, et alors que l’Institution est sans tête et sans véritable cap, de très nombreux personnels sont à leur poste et tentent de faire de leur mieux auprès des élèves et pour leur réussite. C’est pour eux, pour nous, que le SNALC se bat ! (…) Nous serons donc là, face au nouveau gouvernement et au nouveau ministre, quel qu’il soit, pour rappeler que rien ne peut se faire sans nous, que notre bonne volonté et notre dévouement ont des limites et que, toutes catégories et statuts confondus, nous sommes l’Ecole. « 

Didier Gallant,
Vice-président académique

Lire aussi