
Formation initiale : un Master inacceptable !
Si un étudiant issu d’une licence disciplinaire veut poursuivre dans un Master disciplinaire, il devra abandonner le bénéfice de son concours.
Si un étudiant issu d’une licence disciplinaire veut poursuivre dans un Master disciplinaire, il devra abandonner le bénéfice de son concours.
Pour le SNALC, précipiter la « réflexion » des élèves sur l’orientation avant même qu’ils aient pu acquérir de solides connaissances, c’est les vouer d’emblée à l’échec.
Communiqué de presse intersyndical 6 mai 2025 /*! elementor – v3.23.0 – 15-07-2024 */ .elementor-widget-image{text-align:center}.elementor-widget-image a{display:inline-block}.elementor-widget-image a img[src$= ».svg »]{width:48px}.elementor-widget-image img{vertical-align:middle;display:inline-block} Les accompagnantes et accompagnants des élèves
C’est dans le cadre accueillant de la Maison des associations de Beaune que s’est ouverte cette première journée du congrès national de réflexion du SNALC.
«Quand un enfant loupe un cours parce que le prof est malade, c’est un scandale ; mais quand les parents le retirent de l’école sans raison valable, là, ce n’est pas grave ?»
Le SNALC accueille avec étonnement les annonces faites par la ministre sur son plan « filles et mathématiques » qui, à aucun moment, n’a été discuté avec ou présenté aux organisations syndicales représentatives.
Courrier intersyndical
à Madame Elisabeth BORNE, ministre d’État,
ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
Chaque jour nos organisations syndicales sont alertées par de nouvelles problématiques qui concernent les AESH, qu’elles relèvent de leur contrat, de leur temps de travail, de leur rémunération ou de leurs droits. Il est aujourd’hui urgent de conforter les AESH dans leurs missions en leur garantissant une reconnaissance statutaire réellement protectrice et un véritable métier de la Fonction publique.
Le SNALC n’a que faire des on-dit. Il sait que sa position originale peut déranger. Il a toujours défendu les humanités, donc il connaît l’air de la calomnie. Il y répond par des actes et des faits. Représentatif, il se prononce dans les instances ministérielles en fonction des textes, et non de la couleur politique des personnes qui les portent. C’est ce qui fait de lui le poil à gratter du ministère, qui ne sait jamais sur quel pied danser.
Le SNALC demande la suspension immédiate de cette pure entreprise de com’, et la mise en œuvre des investissements budgétaires dont notre École a besoin pour rémunérer correctement ses personnels
Une collègue reçoit un mot de parents d’élève lui demandant de replacer leur enfant à sa place habituelle en classe, près d’un camarade favori, avant qu’ils ne fassent parvenir à son administration (chef d’établissement et rectorat) un courrier annexé à leur message qu’elle est aussi invitée à lire. Ce courrier est à charge. Il rapporte un ensemble de faits incriminant l’enseignante qualifiée de harceleuse et de maltraitante.
Le SNALC a été reçu en audience ce mardi 1er avril 2025 par Élisabeth Borne.
Nous avons porté les principales revendications de nos collègues : rattrapage salarial sans contrepartie, santé des personnels et violence scolaire, école inclusive, réformes pédagogiques à répétition, formation initiale et continue.
Le SNALC ne cesse de le répéter : le métier de professeur des écoles n’attire plus en 2025, tant le quotidien est marqué par la surcharge et les embûches nombreuses. Que reste-t-il comme levier pour attirer les jeunes recrues et dissuader les anciens de quitter le navire ?
Dans [un] contexte grave, qui dégrade chaque année un peu plus une institution essentielle à la République, le ministère appuie sur l’accélérateur pour vous gâcher la vie. (…)
Face à cette politique à courte vue, qui ne s’attaque pas à l’essentiel car cela coûterait de l’argent sans se rendre compte que ne pas s’y attaquer va en coûter beaucoup plus à terme à l’État, le SNALC dit que ça suffit. Ça suffit d’être la cinquième roue du carrosse « fonction publique » alors que nous sommes essentiels à notre pays, comme l’épisode du covid l’a rappelé. Ça suffit d’avoir des catégories A payées 1 000 euros de moins par mois que la moyenne. Ça suffit de recourir à la contractualisation intégrale pour des métiers pérennes. Ça suffit le mépris.
Communiqué de presse du SNALC du 28 mars 2025
À peine arrivée au ministère de l’Éducation nationale, Élisabeth Borne s’est mise au travail. « Les vacances d’été de 2025 ne changeront pas mais, pour 2026, cela dépendra de l’issue des discussions », a-t-elle confié dans un entretien publié dans Le Parisien. Les anciennes générations ont encore connu la rentrée automnale le 15 septembre, voire en octobre… à la saison des vendanges. Étaient-ils plus stupides pour autant ?
CONGRÈS NATIONAL DU SNALC
Ouvert aux adhérents à jour de cotisation
Courrier intersyndical FSU, UNSA, SGEN CFDT, CGT Educ’action, SNALC, SUD Education du 4 mars 2025
Pour le SNALC, ce n’est ni dans des campagnes de publicité ni dans une diminution des grandes vacances que réside la solution. Les enseignants sont payés 1 000€ de moins par mois que la moyenne des fonctionnaires de catégorie A dans la fonction publique d’État.
Le SNALC Lyon a organisé son congrès académique le 20 février 2025, centré sur les conditions de travail dans l’Éducation nationale. Cette journée a permis de faire le point sur les réalités du terrain, les difficultés rencontrées au quotidien et les outils à disposition des personnels.
LE THÈME :
La DGESCO travaille avec les organisations sur deux chantiers voulus par la ministre :
Le « parcours renforcé » en seconde
L’épreuve anticipée de mathématiques
Lors d’un congé de maladie ordinaire, les agents publics subissent une journée de carence : ils ne sont rémunérés qu’à partir du deuxième jour de leur arrêt. Cette mesure injuste et inefficace a été dénoncée récemment à nouveau par le SNALC entre autres, lorsqu’il a été envisagé d’allonger cette carence à trois jours.
Courrier intersyndical FSU, FNEC FP FO, CGT Educ’action, SNALC, SUD Education du 5 février 2025
Les épreuves ponctuelles terminales du bac pro sont avancées mi-mai en 2025, suivies d’un parcours différencié d’un mois et demi. Les CCF devront être terminés début mai. Le ministère émet des préconisations irréalistes.
Pour que l’école devienne inclusive, il faut que les professionnels de chaque secteur aient les moyens de coopérer pour définir les meilleures réponses à apporter afin de satisfaire dans de bonnes conditions aux besoins de tous les élèves : en effet, la politique du ministère conduit trop souvent à borner la lutte contre les difficultés scolaires aux mesures d’accompagnement du handicap.
Madame la Ministre,
Vous avez déclaré ne pas être une spécialiste des questions de l’Education nationale. Pour le SNALC, il est toujours préférable de maîtriser les sujets sur lesquels on est appelé à se prononcer. Nous vous proposons donc ce matin une sorte de rattrapage accéléré(…)
Selon le premier ministre, dans le nouveau gouvernement, « l’éducation est à sa place, la première ». Dans les faits, il ne parlait que de l’ordre protocolaire, et non de la réalité de la politique éducative menée. Cette politique, impressionnante de constance malgré les changements de visages que nous constatons tous les trois mois environ, obtient des résultats tout aussi constants : ils sont, invariablement, nuls.
Le rattrapage salarial des enseignants, objectivement sous-payés par rapport au reste de la catégorie A dans la fonction publique d’État ? Nul.(…)
Selon le premier ministre, dans le nouveau gouvernement, « l’éducation est à sa place, la première ». Dans les faits, il ne parlait que de l’ordre protocolaire, et non de la réalité de la politique éducative menée. Cette politique, impressionnante de constance malgré les changements de visages que nous constatons tous les trois mois environ, obtient des résultats tout aussi constants : ils sont, invariablement, nuls.
Le rattrapage salarial des enseignants, objectivement sous-payés par rapport au reste de la catégorie A dans la fonction publique d’État ? Nul.(…)
Le SNALC a bien noté que, selon le premier ministre, « L’éducation est à sa place, la première ». Toutefois, il ne parlait que de l’ordre protocolaire, et non de la réalité de la politique éducative menée. Cette politique, impressionnante de constance malgré les changements de visages que nous constatons tous les trois mois environ, obtient des résultats tout aussi constants : ils sont, invariablement, nuls.
Jeudi 16 janvier 2025, à l’appel de plusieurs organisations syndicales, dont le SNALC, plus d’une centaine de collègues AESH se sont rassemblés devant le rectorat de Lyon.
Nouvelle ministre de l’Éducation nationale, Madame Borne a indiqué ne pas être spécialiste des questions de notre institution. Pourtant, contrairement à ce qu’elle a déclaré, nous attendons qu’elle le soit, et c’est pour cela que le SNALC lui proposera rapidement un cours de rattrapage.
Nous n’acceptons pas les 3 jours de carence et l’amputation de nos salaires de 10 % lors de congés de maladie ! Non par attachement à un « privilège », mais parce que les conditions de travail des enseignants, et en particulier des P. EPS, favorisent leur exposition aux maladies et à la nécessité de congés.
Audience multilatérale en présence de la ministre, Mme Borne.
Deux ans après la mise en place des APQ, un rapport sénatorial fait le triste bilan de leur généralisation.
Depuis 2018 et les premiers échanges sur les nouveaux programmes du lycée général et technologique, le SNALC n’a cessé de dire qu’il fallait revoir les programmes de langues vivantes.
Le ministre de l’Éducation nationale a annoncé que des programmes seront modifiés. Récemment encore, un projet de programme d’Éducation à la vie affective et sexuelle (EVAS) a été étudié dans les instances de notre institution. Les attentes du SNALC, quel que soit le programme, sont claires.
Le SNALC Lyon reste engagé à défendre vos droits et vos conditions de travail.
Le gouvernement enchaîne les mesures drastiques dans le but de faire des économies.
Le pays doit trouver de l’argent, et pour le SNALC, le choix de faire payer une fois de plus la facture aux professeurs n’est pas acceptable.
Le Ministère de l’Éducation nationale a décidé qu’il n’y aurait pas de groupes en 4e ni 3e. Il met en place un dédoublement sur une heure par semaine, soit en mathématiques, soit en français. Du point de vue organisationnel, on évite la catastrophe. Mais du point de vue pédagogique, cela reste aberrant.
Les difficultés relationnelles se multiplient de manière significative dans notre environnement de travail : ces tensions génèrent un mal-être croissant parmi les personnelset peuvent mener à l’épuisement professionnel. Le SNALC vous aide à vous protéger et à y faire face.
INTERSYNDICALE OPALE : communiqué du 4 décembre 2024
Tract intersyndical FSU, CGT Educ’action, SNALC et SUD éducation du 28 novembre 2024
Les deux enquêtes menées par le SNALC ont rencontré un franc succès et sont éclairantes à plus d’un titre.
La mise en place a grandement varié selon les établissements. Certains chefs d’établissement et certaines équipes ont eu l’intelligence de contourner la mesure. Malheureusement, dans une immense majorité de nos collèges, les emplois du temps et les services des professeurs ont été largement dégradés.
Le message vidéo intersyndical
Ce mercredi 27 novembre, le SNALC rencontrait Caroline Pascal, directrice générale de l’enseignement scolaire (DGESCO), pour un premier échange depuis sa prise de fonction. Ce fut l’occasion de poser un diagnostic clair sur les réformes en cours et de partager nos revendications quant à celles qui se profilent.
Les organisations syndicales FSU, FNEC-FP-FO, CGT éduc’action, SNALC, SUD éducation font une demande d’audience à Monsieur Alexandre PORTIER Ministre délégué,
chargé de la réussite scolaire et de l’enseignement professionnel.
Dans le contexte de la Loi Rilhac, l’Inspection générale de l’éducation, du sport et de la recherche (IGÉSR) a observé la mise en pratique du pilotage pédagogique des directeurs d’école sur l’année scolaire 2023-2024. Pour le SNALC, les recommandations apportées par le rapport de l’IGÉSR (1) ne vont pas dans la bonne direction.
Par un vote unanime de son bureau national, le SNALC appelle l’ensemble des collègues à se joindre au mouvement éducation et fonction publique initié le 5 décembre.
Retour sur les congrès AESH de l’académie qui se sont déroulés à Roanne, Lyon et Belley.
Avez-vous remarqué l’utilisation de plus en plus marquée du jargon directement issu de l’entreprise ? Dans les différentes communications, les mots « performance », « efficacité », « innovation » ou encore « objectifs-cibles » sont omniprésents. Ils remplacent « progrès », « réussite », « visée pédagogique », désormais en voie d’extinction. Le « business plan » a détrôné le projet d’éducation.