DESSINE-MOI UN MINISTRE !
Pour notre syndicat, cette rentrée est placée sous le signe du nécessaire rattrapage salarial, de la crise d’attractivité et de la dégradation des conditions de travail, seules choses qui ont une réelle importance. C’est le message que le SNALC portera devant les députés de la commission des affaires culturelles et de l’éducation le 11 septembre
Europe 1 – Une rentrée des classes sans ministre de l’Éducation nationale, est-ce un problème ?
En réalité, on voit bien que les ministres prennent des décisions, puis passent à autre chose. S’ils ont fait une réforme qui n’a pas marché, ce n’est pas très grave pour eux.
Pour nous, en revanche, si ça ne se passe pas bien, c’est beaucoup plus grave.